kate westerholt revisite avec humour la tradition des samplers. J'adore cet esprit là. Merci dear ada pour la découverte.
Mais qu'est ce qu'un sampler, me direz vous ?
Je me réfère à la définition donnée par Annie Cicatelli
"Au XVème siècle, les brodeuses anglaises avaient coutume de répertorier les points et les motifs sur des morceaux d’étoffe ; elles se référaient ensuite à ces samplers (du français « exemplaires ») et se les échangeaient parfois. Peu à peu, s’établit un code d’ordonnancement des différents échantillons et, au XVIIème siècle, ces recueils se transformèrent en exercices techniques de broderie à l’usage des jeunes filles. (...) Aux alphabets et figures conventionnelles se mêlèrent personnages, paysages, puis sentences et versets tirés des textes sacrés. (...)"
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5 commentaires:
Je suis pas sur de bien saisir la différence entre les 'motifs' que tu créé et les fameux 'samplers' ?
Dans les deux cas, l'idée est de retranscrire une sorte de motif pour communiquer la façon de le faire ?
Excellent le "Born Disco, died heavy metal" ;)
> joe
les samplers sont des motifs très codifiés. Les miens sont moins codés, ils s'échappent de mon petit cerveau subrepticement, l'air de rien. Bref tout un programme :)
dis donc , tu deviens calée en histoire de la broderie en prime, tu fais pas es choses à moitié quand tu t'y colle ! Je trouve rigolotes les travaux de kate w. mais je préfère sexy boy et ses amis :)
attends c trop rock'n'roll ce truc !!
Merci de l'explication.
Peu à peu, je vais devenir un expert en histoire de la broderie sans jamais en avoir touché une.
Et tout ça, grace au super blog de la Manue !
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